Quand nos dirigeants jouent avec "la masse"....
Dans un de mes articles, je parlais qu'il était temps de pardonner et de retenir l'histoire, pas pour l'utiliser négativement, mais pour ne plus reproduire les mêmes erreurs. La sagesse est un don!!!!
Ils savèrent que comme beaucoup j'ai entendu les propos tenus par Monsieur Alain Minc. Vous les trouverez à la fin de cet article.
Actuellement "la masse" est omnubilée par "les roms", chose que je comprends car je trouve cela aussi scandaleux mais attention toutefois...
"La masse" est manipulée de telle sorte qu'elle oublie les crimes, comme détournement de biens sociaux, de nos dirigeants actuels.
Je souhaite que "la masse" garde les yeux grands ouverts, pas seulement sur des événements flagrants, comme les expulsions, mais aussi sur ce qui se déroulent en coulisse à l'Elysée.
Ne soyez pas "une masse" idiote et manipulable s'il vous plait, Merci!
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Propos d'Alain Minc
Guillaume Herner, l'animateur de l'émission : «Alain Minc, cette politique française à l'égard des Roms a été critiquée par tous, y compris même par le pape...»
Alain Minc : «Ecoutez, si vous me permettez de faire un petit hold-up d'antenne, puisque vous êtes le premier micro qui passe à ma portée depuis la déclaration du pape de dimanche dernier... J'ai envie d'exploser un peu. Ce pape allemand ? Parler comme il a parlé, en français ? Son insensibilité, qu'on a mesurée quand il a réinstallé un évêque révisionniste, son insensibilité à l'histoire dont il est comme tous les allemands un héritier, non pas un coupable, mais un héritier, et qui emploie des mots comme il les a employés, même si en langage vaticanesque c'était un peu fort, le fait de parler en français. On peut discuter ce que l'on veut sur l'affaire des Roms, mais pas un pape allemand. Jean-Paul II peut-être, pas lui. Et j'aurais bien aimé quand même entendre ce que je viens de dire depuis deux jours. Quand je vois les exégètes de la presse de gauche -pas milliardaire- lever leur chapeau en approbation aux propos du pape le plus réactionnaire qu'on ait connu, quand ça les arrange, ça me trouble un peu. Voilà. Alors pas lui, et le lui vise le pape, pas ça, pas comme ça. Un autre, oui. Mais pas lui».